Cette nuit,
J’étais au paradis,
J’ai restée sans voix,
Sur la beauté de cette endroit.
Il y jouait une mélodie,
Où je pouvais palper la mélancolie,
En cette nuit étoilée,
Au paradis, le temps n’est pas compté.
Tout semble arrêtée,
On dirait que les années n’ont jamais existée,
Que le temps ne s’est jamais écoulé,
Même les étoile semble brillée depuis le début de l’éternité.
D’un pas lent,
Je marche vers un escarpement,
Je ne ressens pas la peur,
Puisque tout ce qu’il y a autour de moi inspire la douceur.
Tout d’un coup,
M’apparais un loup,
Je le regarde dans les yeux,
Et je sais ce qu’il veut.
Dans une brise nocturne,
Avec lui, je m’aventure dans un boiser,
Sur un sentier,
A peine perceptible sous les rayons de la lune.
Puis apparaît un ruisseau,
Au toucher, l’eau était douce pour la peau,
L’air sentait bon,
On n’y voyait aucune trace de pollution.
Toute fois la mélodie avait arrêtée,
Sous les rayons de la lune était éclairée une épée,
Du sang, cette épée n’en avait jamais fait coulée,
La mort, elle ne l’avait jamais causée.
Près de l’épée,
Il y avait un morceau de papier,
Sur laquelle, il y avait d’écrit un message qui m’était destinée,
Dans un langage qui ne m’étais pas étranger.
Puis dans mon dos j’entendis,
Un murmure qui me surpris,
Je me retournas et je le vit,
Sur un rocher, il était assis.
Son visage exprimait une tristesse infinie,
Sans que je comprenne, il se mit a pleurer,
Et s’est alors qu’il me dit,
Qu’il était mon frère et que je devais lui pardonner.
Je le regarda dans les yeux,
Où se lisait la peur d’être rejeter,
Puis s’est alors que je compris que mon vœu,
Enfin, s’étais réaliser.
Evenlight