Poésies de ma composition ...

Hé oui, je fais de la poésie ! Même un grosbill sait écrire et faire des rimes ^^

Rien n'est plus triste qu'un amour déçu
Car il perdure mais sans de raison d'être
L'objet de l'affection n'est déja plus
Et l'amour porté doit donc disparaître

Mais peut vraiment effacer cela d'un coup
En détournant seulement son regard
Celui qui le peut mérite le titre de fou
Car sans amour, c'est notre ceour qui part

Et si on voit que la personne s'éloigne
Il ne tient qu'à nous de la retenir
Avec force, avec toute notre poigne
Car elle part pour ne plus jamais revenir

L'Homme, sans amour, n'est qu'une vie
Simplement une ombre de lui-même
Et celle qui l'éclaire n'est pas une amie
Mais la personne qui elle aussi l'aime

Une simple parole, un simple geste
Et une vie peut s'illuminer d'espoir
Un espoir qui perdure, qui reste
Et qui survit bien au delà des au-revoirs

Mais ce ne sont pas les meilleurs
Les plus méritants qui sont récompensés
Car certains pour leur amour meurrent
Tandis que d'autres ont les bras croisés

Il y a ceux qui aiment sincèrement
Qui suivent ce que leur dicte leur coeur
Et ceux qui trichent sur leurs sentiments
Mais qui ne sont en fait que des menteurs

Et le plus amoureux de ces deux
N'est-il pas celui qui ne souffle mot ?
Qui ne dit rien du tout, pourtant envieux
Mais agit par amour, le coeur gros

Croyant au bonheur de celle qu'il aime
Voyant que vous avez fait un choix
La tristesse ne n'y pas être en lui germe
Mais considère que votre parole fait loi

Bienheureux est finalement l'aveugle
Qui ne suit que son coeur, pas ses yeux
Car il voit le menteur comme un meuble
En se dirigeant vers l'envieux

Ce comportement est pourtant rare
Car la société juge sur l'apparence
Et pour le moins beau, gare !
Seulement parce qu'il n'a pas la chance

De ressembler à un top-model
Et peu importe ce qu'il ressent
Ce qu'il peut y mettre comme zèle
Car jamais sa bien-aimée n'en aura vent.

Un autre :

Le bonheur n'est pas forcément là où on l'attend
On le presse, le désire, toujours plus intensément
Et au moment où on y pense plus du tout,
il arrive, il appraraît enfin à nous.

Une simple soirée qui devait être assez banale
Rires, larmes, rien qui resterait dans mes annales
Et pourtant voilà, vraiment, tout ici-bas arrive
Et elle m'est apparue, belle, et fugitive.

Je ne l'ai pas de suite retenue, malheureusement, près de moi
Et elle est partie sans que je lui puisse dire quoi que ce soit
Mais par un heureux hasard, j'ai pu lui reparler
Et là, il ne me fallait pas laisser ma chance passer.

La beauté et la grâce étaient en elle incarnées,
De même que de tout son être se dégageait timidité
Un véritable modèle, un être quasiment parfait
Que j'avais failli ne jamais rencontrer.

Parmi toutes celles qui étaient présentes,
C'est la seule que j'ai trouvé vivante
Même si elle ne parlait pas, ni ne bougeait
J'ai senti au fond de moi que je l'aimais.

Je l'ai de suite trouvée extrèmement belle,
Mais mon regard ne cessait de l'éviter, elle
Car je ne voulait pas qu'elle me remarque
Même si je n'avais qu'une corde à mon arc.

Cette corde, c'était de la voir immédiatement
Sans pour autant me déclarer de but en blanc
Et au moins pouvoir plus tard la recontacter
Pour pouvoir lui dire que je l'aimais

Et cette soirée si belle s'est achevée,
Sans que j'aie pu d'elle me rapprocher
L'invitant parfois à venir danser et s'amuser
Mais sans pouvoir l'empécher de s'en aller.

Regrettant mon inaction assez amèrement,
J'ai chercher à la revoir désespérément
Et quel bonheur de récupérer son numéro privé
Même si c'était par des moyens détournés.

Enfin, je pouvais vraiment lui parler !
Mais je ne le pouvais pas, la timidité !
Et j'ai finalement utilisé l'écriture
Pour lui avouer mon amour, au fur et à mesure.

Le temps passe, et rien n'a encore évolué
Mais peu m'importe, je suis déja comblé
De pouvoir lui parler, ou l'accompagner
Et je pense que c'est vraiment ça, aimer.

En trouvant la personne faite pour soi,
La seule qui correspond à son "moi"
On agit différemment d'avec les autres
Et on la suit, aveugle, tel un apôtre.

Quand à lui parler, il faut prendre du temps
Sans se presser, se rapprocher doucement
Car tout précipiter serait une erreur,
la personne, surprise, peut prendre peur.

Comment une personne aussi belle, sensible,
Peut-elle encore être vraiment libre
De tout amour d'une autre personne
Car pour elle, c'est tout que j'abandonne.

Les sentiments prennent leur temps, ne la brusquons pas
Pour qu'elle reste près de moi, se rapproche pas à pas
Et bientôt, peut-être, seront nous finalement ensemble
Car même si cela prend du temps, c'est ce que je demande.

Une étoile, un astre ne sauraient être plus intenses
Que cette fille, voilà vraiment ce que je pense
Et mon désir, au fil du temps, va grandissant
De pouvoir enfin la serrer contre moi tendrement.

Si différente des autres personnes, si belle,
Je ne pouvais m'empéchait de me languir d'elle
Tout en sachant que jamais elle ne me verrai
Car elle n'avait pas de raison de me remarquer.

Elle était vraiment timide, calme, et très posée
Alors que je n'apparaissait que comme un excité
Et il était normal que de moi elle détourne le regard
Alors que je cherchais désespérément à la voir.

Mais il n'en fût rien, et je pu donc admirer
Ses yeux qui, vraiment, étaient d'une rare beauté
Ses cheveux achevaient la beauté de ce doux visage,
Si beau que l'on l'aurait pu croire image.

Même son corps était réellement presque parfait
Du moins, c'est ce qui d'elle se dégageait
Et ses habits lui convenaient parfaitement,
Comme à un ange, quel'on désire secrètement.

La beauté du corps importe moins que celle du coeur
Mais elle avait les deux, pour mon plus grand bonheur
Et plus j'y réfléchissait, plus je m'apercevait,
Que ce n'était pas moi qui, pour elle, était fait.

Mais c'était sans compter sur ma conscience,
Qui ne voulait pas que je perde ma chance
Et me glissa à l'oreille de continuer
Pour ne pas laisser cette occasion filer.

Et voilà maintenant où j'en suis, je t'attend
J'attend que tu te fasses porter par les vents
Qui finiraient par te déposer auprès de moi
Peut-être n'est-ce qu'un rêve, mais j'y crois.

Je dis que tu es belle, mais ce n'est pas exact,
Et désolé si, ayant dit ça j'ai manqué de tact,
Car ce que je veux vraiment, réellement dire,
Je l'espère te fera, au moins, plaisir.

Car si l'on pourrait croire que tu es la beauté,
Moi je dis qu'à ça, il ne faut pas nous arrêter
Car ce terme, "beauté", n'est pas encore assez
Pour toi, je pense qu'au-delà, on pourrait aller.

Et je t'admire sans ma lasser, tout le temps
car tu es plus qu'une merveille, un monument
Qu'on aurait érigé en honneur d'une déesse,
Capable de dissiper malheurs, et tristesses.

Le simple fait de t'entendre redonnerait espoir
A n'importe qui, donnerait l'envie de t'entrevoir
Juste pour t'écouter et t'admirer, toi, la perfection
Qui allie aussi bien la beauté que la réflexion

Être près de toi serait vraiment un bonheur,
A portée de main, certes, mais qui me fait peur
Car je crains d'être moi aussi d'être repoussé
Et de te perdre, ainsi, à tout jamais.

Être déja proche de toi en tant qu'ami
C'est plus qu'il ne devrait m'être permis
Alors je profite, je suis vraiment heureux
Les yeux rivés vers toi, pour toujours amoureux.

Et un autre ...

Je t'ai rencontré il y a quelques semaines, à une soirée,
et dès que je t'ai aperçu, j'ai commencé à t'aimer ;
c'est comme si j'avais rencontré un ange, la perfection
et je voulais être avec toi, dépendant de cette passion.

Cela va faire trois semaines que cela s'est déroulé
et déja nous nous sommes énormément rapprochés.
Je t'ai avoué que je t'aimais, dévoilant mes sentiments,
et tu y as répondu, à ma grande joie, positivement.

Je suis amoureux, complètement dingue de toi,
et n'importe qui le serait devant ce joli minois,
mais tu as aussi pour toi l'intelligence,
sans oublié la gentillesse, et la patience.

Je n'arrive pas à déterminer ce qui chez moi t'a plu,
et me demande ce que, de moi, tu as réellement vu,
pour être tombée toi aussi, de ton côté, amoureuse,
mais j'espère qu'avec moi, tu seras vraiment heureuse.

Quand je te verrai, dès que j'en aurai le courage, je t'embrasserai,
pour pouvoir te montrer tout l'amour que pour toi j'ai éprouvé,
mais j'ai peur de te brusquer, et il vaut mieux que je me contrôle
et que je continue d'essayer de te plaire, romantique et drôle.

Le simple fait d'être loin de toi me rend triste, malheureux,
mais être près de toi fait, parmi les hommes, nombre d'envieux,
car tu incarnes la perfection féminine, tout le monde t'admire,
et toi tu t'en moques, ça te donne presque l'envie d'en rire.

Tu ignores toi même tes atouts, alors qu'ils sont si nombreux,
et moi, d'être pour toujours avec toi je fais le voeu,
priant pour que tu n'ouvres jamais les yeux pour me voir,
et découvrir que je ne vaut rien, à mon grand désespoir.

Il est certain que tu vaux beaucoup mieux que moi, tu le sais,
mais tu sais aussi à quel point je suis capable de t'aimer
et peut-être est-ce aussi pour cela que tu es avec moi,
car tu sais que je peux faire pour toi n'importe quoi.

Et peut-être tes autres prétendants n'en étaient pas capable
car ils ne voyaient pas toutes tes qualités incroyables,
mais je suis pour ma part capable de les distinguer, toutes,
si nombreuses que des défauts, en n'en voit une goutte.

Tu es incroyable, tu es spéciale, tu es un amour,
un ange que l'on voudrait admirer tous les jours,
et je t'aime de tout mon coeur, totalement amoureux
au point de me perdre dans la beauté de tes yeux.

Enfin, je suis avec toi, à tes côtés, quelle chance,
et il n'y a plus qu'à toi, toute la journée, à qui je pense,
uniquement toi, tout ce que tu représentes, et sans aucun dilemme
je veux qu'il n'y ait que toi, de toute ma vie, que j'aime.

La faucheuse d'âme

L'ange de la mort est comme les autres anges,
Et ne fais pas uniquement tout ce qui l'arrange
On aurait tort de lui reprocher tous nos maux
Alors qu'il ne fait juste que le sale boulot

Certes, c'est la grande faucheuse d'âme
Qui ignore le chagrin, les pleurs et les larmes
Qu'éprouvent les gens a l'approche de leur mort
Attendant avec épouvante leur futur sort

Mais peut-on dire qu'elle a vraiment un coeur
Pour faire ce métier qui lui apporte tant de rancoeurs ?
Que ce n'est pour elle qu'une source de divertissement
Que de stopper net la destinée de tous ces vivants ?

Elle n'a pas de coeur, on en est certain
Car il s'est brisé, trop rempli par le chagrin
Que cet ange éprouvait lorsqu'il travaillait
Toute cette tristesse qu'il ressentait

Mais ce qui n'a pas de coeur n'est pas forcément infâme,
C'est la conclusion que nous apporte la faucheuse d'âme
Et c'est avec dégout qu'elle continue de prendre des vies
Car quelqu'un doit le faire, même si personne n'en a envie ...

Eeeh ben, jamais à court d'imagination !

J'ai toujours de l'imagination ...

Ouais, surtout dans le rp ^^

Je réfléchi 24/24, enfin mon cerveau réfléchi 24/24 à des sujets qui me dépassent, et de temps en temps ça reparaît sous forme d'imagination. Ca me fait bizare de me dire que je suis con mais mon cerveau intelligent, mais c'est pourtant ce que je ressent, parce qu'il m'arrive d'énoncer des raisonnements sans que je les connaisse. C'est ma tête qui bosse, et qui des fois me passe ce qu'elle trouve. C'est comme ça que je peux glander tout en bossant ...

Back to angel a écrit:

Je réfléchi 24/24, enfin mon cerveau réfléchi 24/24 à des sujets qui me dépassent, et de temps en temps ça reparaît sous forme d'imagination.

Ca t'arrive de dormir ?

Pas à mon cerveau. Mais mon corps oui par contre !

Oui bon ton cerveau jcomprends bien, mais tu vas pas réfléchir à des idées pour tes histoires pendant que tu dors

Ben si ... C'est comme ça que je fonctionne. Je sais pas comment je fais, mais il semble que j'aie la capacité d'orienter mes rêves pour qu'ils soient en fait des suites à ce que j'ai pensé. Donc je réfléchi aussi la nuit ...

Ben, tu t'inspires de tes reves alors...

Ben non puisque je commence par imaginer un début d'histoire quand je suis réveillé ...

Raaalala xD